« Devant la multiplication des gins d’ici et leur popularité grandissante, la recherche se mobilise pour que voie le jour une culture locale des baies de genièvre.
En 2021, sur 167 gins québécois vendus à la Société des alcools du Québec, 29 seulement portaient la mention Origine Québec, qui certifie que les produits sont faits d’ingrédients exclusivement locaux. Cette contradiction, Maxim Tardif l’avait déjà relevée en 2011, à l’arrivée du premier gin local sur les tablettes. Ce codirecteur de l’innovation et du transfert de technologie pour les produits forestiers non ligneux chez Biopterre, un centre de recherche affilié au Cégep de La Pocatière et à l’Institut de technologie agroalimentaire du Québec, compte bien corriger la situation. »
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Un article publié le 24 février 2022 dans Québec Science
Journaliste : RACHEL HUSSHERR
Image : Shutterstock